Élever un chiot unique : mon aventure avec le “singleton puppy syndrome”

Vous voyez, là c’est votre premier chiot, et ça c’est son cœur qui bat” m’avait dit la vétérinaire, souriante. Le mien de cœur, il allait exploser de joie et d’amour. Après des années à l’attendre et des mois de préparation, j’y étais. J’avais ma première portée. C’était un rêve que je caressais depuis plus d’une décennie, et Sanari, sagement allongée sur la table d’échographie, était la future maman parfaite. Félicitant la chienne pour son beau travail, je m’étais penchée, pleine d’anticipation, pour voir la suite des embryons à découvrir. La vétérinaire examinait avec attention, l’écran restant noir. Et finalement, j’ai compris. Il n’y avait qu’un chiot. La situation que je redoutais.

Un chiot singleton est un chiot né seul dans une portée. Cette situation particulière peut influencer son développement social et comportemental, car il ne bénéficie pas des interactions naturelles avec des frères et sœurs. Les singletons peuvent présenter des difficultés d’autorégulation (contrôle de la morsure, gestion des frustrations) et un attachement plus intense à leur humain. Cependant, avec une socialisation adaptée et des exercices spécifiques, ils peuvent devenir des chiens équilibrés et bien dans leurs pattes.

Alors quels sont les bons réflexes à adopter pour aider un chiot unique à bien grandir ? Voyons ensemble comment lui offrir les meilleures bases possibles.

Les problèmes d’une portée avec un seul chiot

Avoir une portée d’un seul chiot est problématique pour bien des raisons. On pourrait penser, à tort, que le premier est financier. Certes, avec une vente, difficile de rentabiliser la saillie, les examens vétérinaires, les tests de progestérone ou le matériel d’élevage. Mais pour un éleveur éthique, ce n’est pas là que se trouve le gros du problème. Il y a en réalité, bien plus grave.

1. Les problèmes vétérinaires du singleton

Dans un premier temps, une petite portée (un ou deux chiots) ne produit pas assez d’hormones pour déclencher la mise bas. Les chiots prêts à naitre étouffent alors dans le placenta, faute de contractions. Cela nécessite donc une césarienne programmée et une surveillance accrue de la mère.

Avec le syndrome du chien unique se rajoute une autre complication : un développement trop rapide. Sans espace à partager dans l’utérus ni ressources à diviser, le chiot grandit rapidement et la taille de son crâne peut dépasser la largeur du bassin de la mère. Là encore, il faut prévoir césarienne et mesures régulières pour anticiper la mise bas… 

2. Les problèmes comportementaux d’un singleton

Le syndrome du chiot unique est connu pour les impacts qu’il a sur le caractère. 

Dans un premier temps, faute de compétition pour téter, avoir l’attention de maman, être au chaud, avoir des câlins, le chiot n’expérimente pas assez la frustration. Il reçoit également plus d’attention de la part des humains. Cela en fait un chien adulte proche de l’homme, maladroit avec ses semblables, férocement possessif, sans la moindre élasticité émotionnelle, qui part en crise à la plus petite contrariété et redirige facilement en morsures. Bref, un vrai petit monstre.

L’absence d’une fratrie empêche également le mimétisme et la contagion émotionnelle : le chiot le plus social entraine les autres vers les humains, le plus téméraire montre l’exemple pour escalader un nouvel objet, le plus malin guide pour sortir d’un enclos… Le singleton apprend donc plus lentement, sans exemples de son âge. Il ne peut pas jouer et développer sa mobilité et sa communication. Si maman n’est pas très disponible, il n’apprend pas qu’en mordant fort, cela provoque un cri qui stoppe le jeu. 

En soi, beaucoup d’inquiétudes quand il s’agit d’une première portée. Beaucoup d’éleveurs arrivent à placer leur singleton dans une fratrie du même âge. C’est souvent la meilleure option. Malgré mes posts sur les réseaux je n’en ai pas trouvé.

Chiot singleton de une semaine contre une peluche

Ma prise de décision concernant Sanari

J’envisageais sérieusement l’avortement, il y avait trop de risques que ça se passe mal, pour le chiot comme pour Sanari. J’ai longuement discuté avec ma vétérinaire (spécialisée en reproduction), des éleveurs ayant eu un singleton, et lu des kilomètres de blogs sur le sujet. Ils n’avaient eu aucun problème à la mise bas, et beaucoup avaient gardé le chiot qui s’était révélé être un vrai trésor. Ils m’incitaient vivement à continuer, Sanari étant de petite race, athlétique et en pleine forme. En gérant bien son alimentation, elle ne devrait pas avoir de problèmes. Pendant des jours, j’ai tergiversé, discuté, envisagé, imaginé, avec le bien-être de Sanari en ligne de mire. Finalement, très hésitante, j’ai décidé de tenter le coup.

Le suivi de gestation

Pour toute reproduction, il est conseillé de faire un suivi de progestérone de la mère (sous la forme d’une prise de sang). Le taux prévoit le jour d’ovulation, permet un bon timing pour la saillie et précise le jour de mise bas. Avec un singleton, ce suivi est capital dans la mesure où il faut absolument réserver une césarienne à J+1 de la naissance si elle ne se passe pas naturellement. 

Le suivi progestérone peut se poursuivre une fois la gestation confirmée. En effet, une chute de progestérone peut causer la perte du fœtus. Enfin (car nous ne croulons pas déjà sous les prédictions catastrophiques), la chienne peut faire une réabsorption, résultant en un avortement spontané.

Tout cela a évidemment un cout (entre 30 et 50€ pour les tests progestérone, entre 200 et 400€ si césarienne selon la taille du chien). J’ai en plus fait des échographies pour surveiller le cœur du chiot et sa croissance. Une portée normale coute donc moins cher, car elle est moins risquée et demande donc moins de surveillance. Cependant, j’encourage vivement les éleveurs concernés à ne pas négliger le suivi, car le bien-être du chiot et de la mère ne peuvent être pris à la légère. 

Pas d’alimentation spécialisée pour un singleton

Normalement, la chienne passe aux croquettes gestation vers sa 6ᵉ semaine. Pour Sanari, on m’a fortement déconseillé de le faire. La préoccupation principale du singleton est sa taille lors de la mise bas. Ma vétérinaire m’a donc conseillé de garder la même alimentation, sans l’augmenter, et de peser régulièrement Sanari. Elle devait au maximum prendre un kilo.

Le comportement de ma chienne pendant sa gestation

Je me demandais si Sanari allait être plus calme, alourdie par son petit ventre, fatiguée par les hormones… Que nenni ! Elle a toujours été très dynamique, et elle continuait à sauter comme un vrai kangourou, même à 6 semaines de gestation. J’étais terrifiée à l’idée qu’elle perde son chiot à force de se propulser dans les airs pour n’importe quelle raison ! Elle restait également très câline, fidèle à son habitude, appréciant ce surplus d’attention qu’on lui donnait avec plaisir. 

Et puis un jour, elle s’est mise à gratter le sol.

Le jour J : la mise bas et les urgences

Dans le parc à chiot qu’on avait protégé par une alèse mais couvert de plaids et de tapis absorbants, la chienne grattait le sol, tournait en rond et créait son nid. C’était le moment. Pour ma première mise bas, je filmais chaque seconde, enchainais les vocaux sur Whatsapp avec une éleveuse et les vidéos Messenger avec une autre. Était-ce le bouchon muqueux ? La poche des eaux ? Que devais-je faire ? 

À partir du moment où la chienne s’agite, déchire les alèses, gratte, tourne en rond, la mise bas commence. On m’a conseillé d’alterner les sorties dehors (en laisse, condition absolue !) et les moments d’observation à l’intérieur. Une fois dehors, la chienne veut absolument se cacher dans un endroit abrité et se creuser un trou. Si elle n’a pas de laisse, vous avez peu de chances de pouvoir la récupérer tant elle est agitée. L’avantage, c’est que l’exercice aide le chiot à descendre et provoque des contractions. 

Le départ vers les urgences

Les allers-retours se sont succédé. Pour un début à 15h, les contractions sont arrivées à 17h, et se sont suivies, de plus en plus rapprochées, de plus en plus fortes. La chienne était formidable, poussait, cherchait la meilleure position, mais le temps passait, passait… À 19h il n’y avait rien, entre appels avec le vétérinaire et vidéos envoyées aux contacts, il fallut se rendre à l’évidence.  Sanari n’allait pas y arriver seule. Alors avec l’espoir de la voir mettre bas dans la voiture, nous avons embarqué toutes les affaires et filé chez le véto. Et ce fut l’attente.

Longue.  Terrifiante.

J’ai entendu un cri, caractéristique : le bébé était arrivé. Mais un couloir nous séparait de la salle de réveil et personne ne venait nous chercher. Nous avions attendu, attendu, encore… Et puis n’y tenant plus, j’ai été voir.

Dans les mains du vétérinaire, une énorme boule noire et inerte, reposant sur une bouillotte.  Le chiot. Distraitement, j’ai entendu “avec une tête pareille, il ne pouvait clairement pas sortir tout seul !” Pas de bol vu le suivi effectué, mais la nature et ses mystères… Il était frictionné avec énergie, pendant que Sanari reprenait doucement connaissance. Elle m’a gratifié d’un coup de langue puis a fermé les yeux, sa tête dans mes mains. Tout allait bien. J’étais là. Elle ne le savait pas encore, mais son chiot était là aussi. J’aurais bien voulu terminer sur cette jolie fin poétique. En réalité, j’étais loin d’être sereine. Il nous restait bien des étapes à franchir avant de m’avouer rassurée. 

Chiot unique d'une semaine

La galère de la première tétée

Le problème lorsqu’une chienne primipare met bas par césarienne, c’est qu’elle peut ne pas reconnaitre son chiot, ne l’ayant pas vu naître. Elle refuse alors de s’en occuper et de l’allaiter. Chez le vétérinaire, Sanari l’avait reniflé mais sans plus. J’étais terrifiée qu’on les place tous les deux dans la caisse de mise bas et qu’elle se tire sans un regard pour son fils. Bien sûr, j’avais tout prévu (biberon, lait spécialisé) mais j’espérais qu’elle puisse prendre le relais. 

Elle s’est au contraire empressée de le pendre par son cordon ombilical et le laisser tomber de toute sa hauteur. Encore et encore, malgré les cris du petit. En réalité, elle cherchait maladroitement à manger les restes de ce dernier. Quand elle s’est couchée près de lui, nous avons attendu, anxieuses, qu’il trouve les mamelles. Mais, à l’image de sa mère, il n’était pas très doué. Il peinait à ramper et Sanari se relevait fréquemment pour essayer de lui arracher le cordon de gré ou de force. Après avoir attendu que “la nature fasse son œuvre” nous avons pris le chiot, mis une mamelle entre ses lèvres et tenté maladroitement d’en faire sortir du lait.

Trois tutos youtube plus tard et un appel paniqué au véto, on captait enfin comment faire (presser la base du mamelon et tirer légèrement pour en faire sortir quelques gouttes dans la gueule du petit). Finalement, après plusieurs tentatives avortées ou infructueuses, le chiot a compris comment faire. Il tétait le colostrum. La tension est un peu redescendue. Il allait au moins vivre quelques heures de plus.

Les premières semaines de vie du Singleton puppy

Le chiot fut rapidement nommé “Vocéeo” (un chant corse). Sanari devint une mère attentionnée du jour au lendemain, comme si quelqu’un avait tourné un interrupteur dans son cerveau. Elle venait me chercher pour que je surveille son rejeton afin qu’elle aille boire ou manger. Dans le parc à chiot, j’avais placé une peluche contenant une bouteille d’eau chaude, que je changeais toutes les 4h afin que Vocéro puisse se blottir contre un semblant de compagnon lorsque sa mère n’était pas là. J’avais cherché une peluche simulant les battements d’un cœur mais les avis clients m’avaient dissuadé d’aller plus loin. L’important étant de l’habituer à être souvent en contact avec des surfaces chaudes pour ne pas créer une aversion au toucher (ce qui est courant chez les singleton).

peluche chauffante pour chiot

1. Période néonatale

Quand je voyais Vocéro téter, je pressais les peluches contre ses côtés (comme des frères et sœurs tétant avec lui). Une fois sur cinq, j’utilisais une des peluches pour le pousser des mamelles, le faisant ainsi lâcher et “prenant sa place”. Vocéro devait alors à nouveau se redresser et trouver une mamelle libre. Cette technique simule la façon naturelle qu’ont les chiots de se pousser mutuellement pour la meilleure place.

ENS - stimulation neurologique précoce du chiot unique
ENS (position sur le dos)

À partir du 5ᵉ jour, chaque matin était ritualisé. Je préparais le “petit déjeuner” de Sanari (sa ration de croquettes dans un bouillon chaud et un peu de starter Royal Canin) et je la laissais dehors quelques minutes pour qu’elle se dégourdisse les pattes. Ensuite, je pesais Vocéro, en notant l’évolution dans un tableau Excel pour m’assurer qu’il grossissait assez. Je faisais le programme Bio Sensor / ENS (stimulation neurologique précoce que je vous laisse découvrir en détail sur le blog d’Austral et Boréal) et une fois par semaine je coupais le bout de ses griffes afin de ménager les mamelles de Sanari mais aussi d’habituer bébé chien aux premières manipulations. À partir du moment où il a pu éliminer sans aide de sa mère, j’en profitais pour nettoyer le parc et changer la disposition des objets : certains sous le plaid pour stimuler sa motricité, et des peluches au-dessus pour qu’il se blottisse contre elles ou doive les contourner pour retrouver sa mère. 

Attention au syndrome du chiot nageur (swimming puppy) pour les chiots uniques

Le syndrome du chiot nageur est une anomalie de locomotion, qui apparait chez le chiot de 2 à 4 semaines. Un chiot nageur a les membres étendus devant lui et n’arrive pas à les regrouper pour apprendre à ramper. Je ne vais pas détailler plus mais vous trouverez + d’infos sur cette page. En revanche, j’attire votre attention sur ce point – les facteurs qui facilitent cette malformation sont :

  • une petite portée
  • des chiots gras et/ou inactifs
  • un sol lisse ne permettant pas le déplacement

En bref, des chiots passifs, qui bougent peu et mangent beaucoup. Faute de frères et sœurs, le chiot unique est sujet au syndrome du chiot nageur. Il est souvent plus gros qu’un chiot normal de son âge, n’est pas stimulé par une fratrie et n’a aucune compétition pour la nourriture. Notre but en tant qu’éleveur est donc de prendre la main et bien surveiller la motricité du chiot.

peluches autour d'un singleton puppy

Sur les bons conseils d’une amie éleveuse, j’ai placé des boites d’œufs sous le tapis du parc (un plaid mouton très accrochant) afin de créer de petits challenges proprioceptifs pour Vocéro. Au-dessus, je mettais des grosses peluches qu’il devait contourner. Vers 3 semaines de vie, j’ai mis un pyjama à Sanari en ne laissant passer qu’une mamelle, pour que Vocéro ne s’accroche pas à la première à disposition. Cela permettait aussi à Sanari de l’éviter plus facilement si elle n’avait pas envie d’être assaillie. J’ai eu la chance d’avoir une chienne plutôt active et naturellement bonne mère, qui a rapidement exigé de son fils qu’il tête pendant qu’elle restait assise ou debout. Ainsi, Vocéro devait pousser sur ses membres et relever la tête pour boire.

Pyjama pour chien pour empêcher l'accès aux mamelles

2. Période de transition

Cette période est marquée par l’ouverture des yeux et l’arrivée de l’audition. Il est normal pour un singleton d’être en retard par rapport aux repères donnés à titre indicatif. Tout est plus long : la marche, le sevrage, il ne faut pas s’inquiéter et continuer d’interagir régulièrement avec le chiot. L’avantage étant que la mère passe plus de temps à s’occuper de son petit et peu les aider à éliminer quelques semaines de plus.

Pour complémenter l’absence de chiots, j’ai introduit rapidement ma chienne plus âgée, Ludie. C’est une petite puce très posée, curieuse et tolérante, exactement ce qu’il fallait pour que Vocéro découvre l’étendue de la diversité canine (puisque Ludie n’est pas de la même race que sa propre mère). Petit à petit, au fil des jours, j’ai présenté les chiens derrière la grille du parc. 

Ludie et Vocéro

La socialisation du singleton 

Ce sujet étant extrêmement vaste, et cet article déjà trop long, je ne vais pas m’étaler dessus. J’ai vloggé les 9 premières semaines de vie de Vocéro sur Instagram (à partir de sa naissance) et la majorité des vidéos traitent de la socialisation que j’ai pu mettre en place. Je vous laisse les découvrir ici ! (vlogs de 1 à 9 semaines sur Instagram)

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Ce qu’il faut retenir, c’est qu’en l’absence de portée pour jouer et montrer l’exemple, le chiot doit être vraiment stimulé. Il faut avoir plusieurs adultes bien codés pour encadrer le chiot et lui montrer comment évoluer dans le monde. Un modèle adulte sera irremplaçable, non seulement pour ouvrir la voie, mais surtout pour communiquer encore et encore avec votre chiot unique. Seul un chien pourra bien expliquer à un chiot que ses crocs font mal, que mordre les oreilles ne se fait pas, ou comment gérer une situation stressante sans montrer les crocs ! 

De surcroit, sortez, sortez, sortez avec votre chiot en poussette ou en sac, qu’il écoute le bruit de la rue, qu’il découvre l’animalerie dans vos bras, qu’il observe les enfants jouer de loin… La socialisation d’un chiot unique ne peut absolument pas être négligée car c’est pendant cette période critique que bébé chien façonnera l’adulte qu’il sera demain. Je vous laisse lire davantage d’infos et de détails sur la socialisation dans cet article (cliquez).

Mon retour, aux 8 mois de Vocéro

Je n’avais aucune intention de garder ce chiot, mais difficile de se séparer d’un petit loup aussi équilibré. Aujourd’hui, Vocéro a huit mois. Il a été un chiot formidable : très proche de moi, volontaire au travail, joueur, mais surtout très bon communicant. Il n’a peur de rien, explore le monde avec confiance et m’a accompagné dans mille et unes aventures : il a vu la plage, pris le train, l’avion, découvert l’Espagne et s’est fait plein de copains chiens là-bas… C’est un chien qui s’excite facilement mais redescend vite, et une bonne tolérance à la frustration. Il a intégré un programme pour devenir chien d’assistance. Bref, c’est le chien le plus équilibré que j’ai pu avoir. Ainsi, oui, il est possible d’avoir un singleton aussi éveillé et confiant que n’importe quel chiot.

Vocéro 8 mois berger américain miniature portant une veste d'assistance

Cependant, l’adolescence reviendra bousculer tout cela, je n’en doute pas. À l’aube de son réveil hormonal, je trouve Vocéro plus facilement excitable et frustré, mais aussi incertain avec les contacts canins. Tout cela est normal. Il nous faudra attendre, vous et moi, qu’il devienne tout à fait adulte pour voir si mon petit chiot unique a bien réussi le pari de la vie.

J’éditerai cet article fin 2026 pour y apporter des précisions suite à cela !

Cet article est très long, mais j’espère qu’il pourra aider ceux qui se seront retrouvés dans ma situation. Je serai ravie de lire vos commentaires si j’ai pu vous apporter aide et sérénité dans cette aventure du singleton puppy. Tenez-moi au courant, je serai ravie d’apprendre que ce pavé a été lu par quelqu’un 🙂 

A bientôt sur cette page, en 2026 !

1 réflexion au sujet de « Élever un chiot unique : mon aventure avec le “singleton puppy syndrome” »

  1. Bonjour. oui! J’ai tout lu et je le garde pour lire tout les autres articles conseillés.
    Merci pour ce « résumé « .
    J’attends 2026 pour la suite.
    Bonne continuation à vous tous, la Maman, le chiot et l’humaine.
    Le programme d’éveil avec les Austral et Boréal est un bon exemple pour démarrer da.s la vie.
    Bravo à vous.

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